6.03.2007


Sur cette route enivré
A ma gauche s’étendent les champs dénudés
Et à ma droite ce champ de blé
Qui attise les convoitises
Et cet amour désespéré
Pour cette fille indécise

La lune rougeoyante
Laisse coulée mes larmes
Désespérément sanglante,
Et ces nuages tranchant
Glisse sur ces larmes de sang

Elle qui m’a laissée
A d’autre cirrhose
N’auras pu s’imaginer
Que tout ne tient qu’à cette rose
Toujours pas oublié
Et que malgré le temps
Subsiste un malaise déchirant
Dont je ne peux me débarrasser
Et ce n’est pas ces quelques plants
Qui feront tournés le vent

Je me sens abandonné
Ou juste délaissé,
A moins que ce ne soit
Les sensations de vin blanc
Qui bouillonne en moi
Et dans mes veines
Jusqu’à se transformer en larmes de sang.
Voila que je des yeux je saigne